samedi 25 juin 2011

Timecrimes (Karra Elejalde, Candela Fernández, de Nacho Vigalondo, 2007)




Couleurs « crades and dirty », peut-être réalistes, mais à mille lieues d'une esthétique classique de bon film d'horreur. La surprise vient de la version originale : c'est en espagnol ! Le titre m'avait induit en erreur : Timecrime en bon français, Los Cronocrímenes en version originale. Cela faisait longtemps – depuis El Aura, film argentin – que je n'avais pas vu un film dans cet idiome.
Passées les considérations purement esthétiques, je dois avouer que le scénario tient la route. Il reste prenant, voire s'avère surprenant et ce, jusqu'à la fin. Et la morale est très vingt et unième siècle : quoi que vous fassiez, quelle que soit l'énergie que vous y consacriez, la situation empirera.
À découvrir, plus pour le contenu que pour le contenant.
Revoir : non.

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