samedi 18 juin 2011

L'homme de mes rêves (Ginger Rogers, Cornel Wilde, de Don Hartman et Rudolph Maté, 1947)




Comédie portée à bout de bras par Ginger Rogers et ses expressions faciales si caractéristiques. L'ambiance se rapproche d'un excellent Tex Avery : rien n'est prévisible initialement, mais tout est plus ou moins logique. Et le loufoque l'emporte sur tout le reste. Je mentionnerai aussi une très belle photographie en noir et blanc, plus douce que celle des films noirs, mais totalement adaptée au monde dépeint.
À voir si vous êtes d'humeur à accepter l'onirique en version ironique et comique (l'onirique de certains Jerry Lewis s'en rapprocherait).
Revoir : oui.

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