Ça commence classiquement, et c'est bien réalisé. Mais, là où j'ai senti que le réalisateur maîtrisait la technique, c'est quand il a éclairé une scène de nuit à l'intérieur de la maison des cauchemars. Il fallait oser, car la nuit – sombre par excellence – protège depuis toujours les mauvais réalisateurs : elle masque leur terrifiante incompétence !
Dans Freddy 3, le réalisateur rallume la lumière. S'ensuivra une cascade de trouvailles visuelles, sonores et scénaristiques à couper le souffle. Il y a de l'imagination, il y a de la jubilation : bref, c'est plus que plaisant. C'est un très grand Freddy.
Revoir : oui !
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