vendredi 20 novembre 2009

Le cauchemar de Freddy - Freddy 4 (Lisa Wilcox, Robert Englund, de Renny Harlin, 1988)



C'est déjà un film des années quatre-vingt : de la bande-son si caractéristique des synthétiseurs d'alors, aux coiffures qu'on trouve dans les premiers succès de Stalone. C'est mignon car déjà ancien, et c'est plaisant car c'est encore coloré comme un bon série B des années cinquante à soixante.
En plus, la rousse qui rêve éveillée apporte une touche de nouveauté, tant par son étrangeté que par la douceur de ses prunelles vertes. La blonde copine de Tobey Macguire dans Pleasantville lui ressemblera, une dizaine d'années plus tard.
L'ambiance est parfois surprenante, en particulier lorsque le réalisateur insère des scènes typées années soixante dans un film résolument années quatre-vingt. Clin d'oeil à American Graffiti ?
Bilan : l'imagination débordante du troisième épisode a fait place à des effets visuels certes saisissants, mais finalement moins savoureux que le troisième Freddy.
Revoir : non.

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