samedi 3 janvier 2015

Le grand frisson (Mel Brooks, Madeline Kahn, de Mel Brooks, 1977)




Hommage explicite à l’œuvre de Hitchcock, ce film en a les cadrages, certaines vues dérangeantes, ainsi que la blonde. Il parodie aussi des scènes avec plus ou moins de bonheur, allant de la douche de Psychose au Golden Gate de Vertigo. En plus de tout cela, qui ne fait pas un film, il y a le délire habituel de Mel Brooks, ses personnages secondaires totalement excentriques, et ce goût pour le comique de répétition (qui fonctionne).
Tout comme j'avais déploré la faible exploitation de l'asile d'aliénés dans Ace Ventura, je regrette ici que ce monde clos et bizarre ne soit pas plus source de surprises, d'intrigues ou de rebondissements.
Revoir : non.

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