lundi 9 mai 2011

Trahison à Athènes (Robert Mitchum, Elisabeth Müller, de Robert Aldrich, 1959)



Oscillation entre espionnage, guerre et mélodrame. Des ressemblances avec Casablanca, nid d'espions (les couleurs en moins). Une photographie digne des films noirs de Siodmak, et des ombres, certes moins belles que celles de Curtiz, néanmoins épatantes.
Revoir : oui.

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