vendredi 13 décembre 2013
Lady Vegas (Bruce Willis, Catherine Zeta-Jones, de Stephen Frears, 2012)
La jeune actrice s'approche des mimiques du muet (je pense à Bérénice Bejo) et passe son temps à sauter sur place. Bruce Willis se met en rogne pour un oui ou pour un nom. Il joue un patron paternel de boite de paris et gâche donc les trois quarts de son potentiel gouailleur et baroudeur. Seule Catherine s'en sort bien, elle aussi dans un registre presque muet : au moins exprime-t-elle parfaitement ses sentiments par des visages variés et expressifs.
Quant à l'histoire, vraie de vraie, elle est ennuyeuse à souhait. Qui veut voir au cinéma un simple reflet de la vie réelle ? Pour 9 euros, sûrement pas moi.
Revoir : non.
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