mercredi 9 janvier 2013

Une arnaque presque parfaite (Adrien Brody, Rachel Weisz, de Rian Johnson, 2008)




La technique est maîtrisée, les acteurs convaincants. Sur le plan esthétique, je n'aime pas les couleurs à tendance dépressive. Quant aux personnages, ils se situent à la croisée d'un Little Big Man et d'un Breakfast at Tiffany's. Je pense à Dustin Hoffman, mais aussi au cul-de-jatte ici transposé en chat. Je pense encore à Audrey Hepburn à demi malade qui a dû inspirer Rachel Weisz.
L'ambiance globale est celle d'un film de perdants (loosers en bon français), et j'ai du mal à m'enthousiasmer pour les histoires de perdants qui perdent du début à la fin.
Revoir : non.

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