samedi 10 novembre 2012

Scott Pilgrim (Michael Cera, Mary Elizabeth Winstead, de Edgar Wright, 2011)




Onirique, poétique, comique. Et informatique aussi. Le héros est touchant, la jeune asiatique est enthousiasmante, et la belle inaccessible est humaine. Il flotte dans ce film une atmosphère étrange, agréable et dépaysante. Que ce soit dans les scènes au Canada ou dans les passages plus ludiques, le réalisateur distille le même parfum de rêve. C'est différent d'un Burton, c'est plus dépaysant qu'Amélie Poulain, et cela reste accessible au commun des mortels.
Revoir : oui.

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