samedi 12 septembre 2009
Black sheep (Danielle Mason, Nathan Meister, de Jonathan King, 2006)
Il y a deux sortes de films d'horreur : ceux qui vous font peur tellement ils sont mal filmés, et ceux qui vous captivent tant ils sont bien fichus. Black sheep vient de Nouvelle-Zélande et s'inscrit dans la seconde catégorie.
Les images lumineuses en extérieurs, les paysages aux couleurs chaudes, les ciels bleus et les moutons blancs sont plus que plaisants. J'ai adoré la photographie de ce film (c'est souvent une caractéristique des films d'horreur : ils possèdent une photographie en extérieur de toute beauté).
L'histoire est sans surprise : de gentils moutons modifiés génétiquement par les méchants de service deviennent carnivores et bouffent tout ce qui ressemble à un bipède. Les personnages sont classiques pour ce premier film du réalisateur : un méchant assez mûr et sûr de lui, une scientifique brune dénuée de tout scrupule (non, pas une brune dénudée, une brune dénuée, pfff !). Il y a aussi l'héroïne écolo blonde des films de série B (donc avec un tee-shirt qui souligne bien ses seins dans chaque plan). Et le héros est, évidemment, traumatisé depuis son enfance par... les moutons !
Sympathique pour l'accent, pour les paysages et pour les gags.
Revoir : oui, juste pour rire avant de manger un bon gigot.
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