mardi 12 avril 2011

Lovely bones (Mark Wahlberg, Rachel Weisz, de Peter Jackson, 2010)



La scène des bouteilles brisées lorgne vers Salvador Dali ; je pense aussi à Big Fish. Les images sont généralement splendides, et les scènes oniriques profitent bien des techniques modernes. C'est très beau visuellement, il y a même une planète à la Carl Barks. Heureusement que c'est beau, car c'est simultanément déprimant ! Et Mark Wahlberg, qui joue le père, a éternellement son regard peu vif. OK, il y a Susan Sarandon en grand-mère dynamique, et c'est une chance ! Sinon, le spectateur moyen se flinguerait avant la fin.
Lovely bones, une solution élégante au problème des retraites ? Sûrement !
Revoir : non. Mais je le conseillerais bien à mon pire ennemi : c'est hypnotisant et déprimant.

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