samedi 11 décembre 2010

Woodstock diary 1969 (de D.A. Pennebaker et Chris Hegedus, 1970, 1994)



Mélange d'images et d'incompréhension, de nostalgie et de musique. La technique est plutôt pauvre, les plans assez pourris et les cadrages incongrus. Mais il reste un Tim Hardin qui chante son If I were a carpenter, et Joan Baez clôt le premier jour avec sa voix extraordinaire. Ah ! J'oubliais, man ! Il y avait, man, Arlo Guthrie, man, oui man ! Oui oui : le fils de Woody, man ! Et, man, il chante, man, devinez qui, man ? Il chante Dylan, man ! Si si, man ! On entend aussi Bert Sommer sur une mélodie qui hantera longtemps ma mémoire.
Le reste ? Une grande déception ! À quoi m'attendais-je ? À un concentré de magie, à une puissance qui n'a su être saisie sur celluloïd, à un monument sonore et visuel. Je rêve ? Non ! Certains réalisateurs en sont capables : ceux des films de propagande en particulier.
Revoir : non.

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