vendredi 3 janvier 2014
Le violent (Humphrey Bogart, Gloria Graham, de Nicholas Ray, 1950)
Bon film où le héros est plus proche du personnage du Prisonnier que d’un bonhomme charismatique. Bogart est très crédible dans ce rôle où il se moque éperdument de ce qui se passe autour de lui. La photographie en noir et blanc est sublime, et les éclairages de toute beauté. Au ton grinçant du personnage principal répondent quelles bouilles sympathiques, et ce ton comique volontaire est un contrepoids bienvenu équilibrant l’ensemble. L’histoire n’est pas aussi abracadabrante qu’un Grand Sommeil et vous l’oublierez sans doute. En revanche, vous vous souviendrez sans hésitation des images, des décors, des arches blanches et des femmes en noir.
Revoir : oui, c’est fait !
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