samedi 19 mars 2011
Lucky Luke (Jean Dujardin, Sylvie Testud, de James Huth, 2009)
Même maladie que le film Le Saint avec Val Kilmer. Pourquoi affubler un héros bien portant (euphémisme) d'un traumatisme psychique ? Ici, Luke gamin a été témoin du meurtre de ses parents. Et ça le hante. Et ça le mine (de rien, comme écrivait Franquin). Bref : cette dérogation scénaristique est aussi mauvaise que Jean Dujardin est talentueux.
Revoir : sans façon. Les vrais Simon Templar et Lucky Luke n'ont pas besoin de psy.
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