mardi 12 février 2013

Or noir (Antonio Banderas, de Jean-Jacques Annaud, 2011)





Les images sont belles, les plans sont raffinés et les mouvements amples. Le désert, ses dunes et ses constructions se prêtent admirablement à ce style de vues magnifiant la nature. Quelques originalités dans l'histoire, comme la source d'eau potable, viennent surprendre le spectateur. Je mentionne enfin le jeu et la prestance du père des deux enfants : le mélange de finesse et d'intelligence sournoise est réjouissant.
Revoir : non.

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