mardi 7 décembre 2010
Hotel Woodstock (Demetri Martin, Dan Fogler, de Ang Lee, 2009)
Le héros est aussi charismatique que Dustin Hoffman jeune. Et vous n'aimeriez pas rencontrer ses parents. À part cela, le film raconte Woodstock sans montrer de chanteurs, sans tête connue, sans icône. Le seul qui tire son épingle du jeu est le jeune organisateur du concert, un type au sourire éternel. Bon, faut dire que balayer les ennuis à coups de sacs remplis de billets de banque, ça limite sûrement le stress ! Oui, c'est original de montrer Woodstock depuis les balbutiements jusqu'à la débandade. Oui, c'est nouveau. C'est même sympathique par instants. C'est sûrement ce que cherchait le réalisateur. Mais je ne suis pas certain que ce soit ce que cherche le spectateur.
Revoir : non.
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